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Jours Pâles - Éclosion [The Best Black Metal Album]
nonlambo
2022. 3. 2. 08:41
Lyrics to Éclosion [The Best Black Metal Album] by Jours Pâles
Tracklist: 01. Illunés Oh toi qui un jour est mort de ne pas être heureux As-tu trouvé la paix en l'asile des cieux? Peux-tu enfin écrire aux heures d'éternité Les strophes d'une vie qui t'aura consumé? Sens-tu que je m'épuise, en ce combat trop vain Où mordre la poussière, semble être mon destin? Le chemin est trop long et la nuit qui m'étreint Chaque jour un peu plus attise mon chagrin. Souviens-toi! Illunés, irradiés par cette pureté Nos ombres se reflétant à l’eau saumâtre Offertes à l’étendue, frêles, se pâmaient Dans l’urgence des instants D’un canevas que l’heure force à oublier Noyant les peines dans des océans de poison Pour renaître au gré d’apaisantes submersions Et je lève vers le ciel un regard d'Espérance Convaincu que cela sera ma délivrance Habitant l'au-delà, tu sais déjà tout ça Promets-moi que bientôt, une place pour moi S'offrira doucement au chant du petit jour Quand mon cœur résigné réclamera son tour Un peu de ce silence aux airs de tout jamais Et au bout, le long chemin vers la tranquillité. Illunés, irradiés par cette pureté Parfois inquiets, surtout pressés De trouver de plus nobles sillons Aux confins de mondes lointains Là où les aménités de nos fugues Ne souffraient d’aucuns maux. Et désormais… Je me réjouis, de ce moment de joie Où m'accueillant dans tes bras, une ultime fois Tu pourras me dire sans douleur dans la voix Si l'on peut un jour guérir du mal de vivre ici-bas. 02. Aux Confins Du Silence Trois heures du matin, arraché au sommeil Par l’étreinte inhumaine aux portes de mon cœur De l’angoisse qui veille et commande ma peur Dressé dans la pénombre, effrayé je m’éveille L’insupportable assaut aux confins du silence Dans cette nuit trop noire, épuise mon âme Et je supplie qu’enfin s’arrête là le drame Vaincu, désespéré j’espère la sentence La flamme doucement s’éteint en grésillant Triste plainte qui vient au dernier des instants Annoncer que plus rien ne veille maintenant Que je dois accepter de quitter ce carcan. Celui que je mérite et réclame à présent La punition finale aux frontières de la vie Sanctionnant par la mort, mes échecs et leur prix L’abandon de l’esprit aux errances du vent. L’autre moi qui triomphe aux instants du néant Ce voyageur de l’ombre éteignant chaque jour La flamme qui vacille et ressurgit toujours A inondé mon être d’un poison violent. L’insupportable assaut aux confins du silence Dans cette nuit trop noire, épuise mon âme Et je supplie qu’enfin s’arrête là le drame Vaincu, désespéré j’espère la sentence Je n’ai plus les moyens de lutter dignement A genoux dans la boue, certain d’avoir perdu Le dernier des combats qui sans doute aurait pu… L’autre moi qui triomphe aux instants du néant Ce voyageur de l’ombre éteignant chaque jour La flamme qui vacille et ressurgit toujours A inondé mon être d’un poison violent. L’insupportable assaut aux confins du silence Dans cette nuit trop noire, épuise mon âme Et je supplie qu’enfin s’arrête là le drame Vaincu, désespéré j’espère la sentence La flamme doucement s’éteint en grésillant Triste plainte qui vient au dernier des instants Annoncer que plus rien ne veille maintenant Que je dois accepter de quitter ce carcan. Celui que je mérite et réclame à présent La punition finale aux frontières de la vie Sanctionnant par la mort, mes échecs et leur prix L’abandon de l’esprit aux errances du vent 03. Ma Dysthymie, Sa Vastitude Allongé, misérable, impuissant et résigné Seul dans cet univers jusqu'alors inconnu Terre hostile d'où je voudrais m'évader. Vide et pourtant à ras bord, débordant de vécu Soubresauts de révolte, pour échapper au non-sens Celui d'un quotidien voué à l'obsédant projet D'envier, de mépriser, trahir, écraser Le tout bien caché, derrière l'odieux visage De l'hypocrisie. Est-ce une illusion de dignité Ou un orgueil enterré ? Qui me pousse à croire désormais Que muet, insignifiant telle la poussière Je dois m'abandonner Aux caprices du destin. Comme une partition jouée sans harmonie S'imposent, cruelles, agressives, évidentes Toutes les fausses notes d'un parcours tari J'intime à mon esprit de m'offrir une pause Comme un peu de fatalisme en remède d'urgence Au milieu de ce chaos. Ô ma vie, toi et moi, à jamais pires ennemis Blotti dans ton foulard au parfum d’au revoir J’ai franchi à nouveau le fleuve sans le voir Et j’ai eu froid je sais en entendant discret Le vieux piano branlant dont la voix se mourrait 04. Le Chant Du Cygne Tu avançais courbé comme vont les vaincus Dominé sans pitié par cet assaut des jours Qui tue la volonté sans prendre de détours. Ayant rendu les armes, tu parcourais les rues. Toi, l’un de mes frères errant sur cette terre Balayée par des vents soulevant la poussière. Nulle place ici- bas pour tes vaines chimères La poésie au cœur et à la main un verre. Brisé de solitude et lassé du mépris Tu déclamais tes vers comme un hymne à la vie C’était le chant du cygne aux dernières lueurs Comme un ultime espoir de repousser la peur. Fragile, tu vacillais quand on te bousculait Et souffrais du mépris d’un regard étranger Qui se trompant sur toi, méprisant ta détresse Se sentait rassuré de croiser ta tristesse. Isolé dans un monde habillé de douleur Tu entendais, je sais, que s’égrenaient les heures. Renonçant peu à peu, encerclé par la nuit Fier, à livrer bataille et réclamer la vie. Digne dans le silence et la froideur des jours Ayant pris la mesure de ton manque d’amour Tu t’es couché serein, malgré tant de chagrin Pensé à ta famille, appelé le destin. Écoutant le message et fidèle toujours Ton corps a décidé dans un acte de bravoure D’abréger tes souffrances et l’inutile effort En t’offrant de la mort enfin le réconfort. 05. Eclamé Parvenir à faire le choix inéluctable Dans la nuit brune se figent mes foulées Parmis les hauts et les bas inévitables De cet enivrement je tire ma volonté L'aura noire se pare d'acier Quand l'aube atteint les extrémités De chemins de traverse en illusions de joie, je brûle la chandelle Qui ne parvient pas à effacer l’obscurité de nuits Qui me tiennent en otage dans l’attente du jour. Je suis fatiguée et il devient difficile De gravir le jour pour atteindre l’asile Réconfortant du soir où je me sens sereine. Mes forces m’abandonnent et la lumière m’étreint. Ma sensibilité se heurte sans pitié A ces assauts violents de stériles fiertés. Cette vie qui m’agresse et voile l’avenir En détruisant le vrai me propose le pire. Je suis si fatigué à l’heure du combat Que s’impose le risque de faire un faux pas Celui qui va offrir l’ouverture fatale Au glaive qui se tend dans l’instinct animal. Sur le champ de bataille où l’odeur du sang S’impose dans la brume d’un soleil couchant Je me suis mis debout en réclamant la mort Celle digne de ceux qui n’ont pas de remords. 06. Éclosion Au chevet de nos tristesses, le temps s’est figé Avec pour seuls compagnons, des souvenirs Qui semblent en permanence nous échapper Et à l’abri du monde, éloignés des turpitudes Du désastre ambiant, de nos sales habitudes Attendant d’éclore, à nouveau, et réanimer Ce défaillant parcours, tordu, vrillé. Vitale régression, pour le nouveau départ Aux heures sombres et languides Raviver la flamme qui semble vaciller Sous la contrainte d’un immense éteignoir Iniques destins desquels s’engonce la douleur Piégés dans l’épaisse brume des ivresses Asservis, meurtris, figés dans la paresse Mais saouls de souvenirs, désireux d’espoir A nouveau. Renaître, revivre. Au chevet de nos tristesses, le temps s’est figé Avec pour seules compagnons, des souvenirs Qui semblent en permanence nous échapper A l’abri du monde, éloignés des turpitudes Du désastre ambiant, des sales habitudes Attendant d’éclore, à nouveau, et réanimer Ce défaillant parcours, tordu, vrillé. 07. Suivant l'Astre Souillé, humilié, leur enfer juste à notre portée Par les infâmes apporté, à genoux sans armes, érodés Comme figés, glacés par le manque d’opportunité Redite outillée par ces séides despotiques dévoyés Fuir est l'option car défier est un échec avoué Au loin dans mon refuge, ma Thébaïde aux airs de pureté Loin des miasmes et des écholalies, glaviots infectés Lancés en toute impunité à nos visages bleuis tuméfiés Nos corps pollués par la rancœur, et la haine débridée Amoindris par cette dystopie perverse à peine dissimulée Que j’expectore avec ardeur mais qui ne reste que velléité Alors sous les décombres, suivant l’astre Au crépuscule tonnant nous partirons Rejoindre les sibyllines puretés 08. Des Jours À Rallonge Long days, and nights far too short The timid temperance that boredom often dreads The languid hours that go by and bring me back To the thoughts of these hurtful absences Et la perpétuelle quête, vaine, indécente L’espoir, l’amour la haine et la descente Toujours les mêmes cercles, toujours Toujours les mêmes cercles, toujours Empruntés, nos nausées, à se rendre sourd Will love finally be born in the right seasons? Or should we perish again in the sandstone of futile prayers? Pas à pas construire, partir du vide pour faire éclore l’ultime Ce qui fait se sentir ardent, et qui nous fait promettre au sublime Qu’il existe et n’attend que nous, là, emplit d’espérance. Qu’il est le sel de nos enlacées, et que notre endurance Maintiendra la flamme frissonnante et furieuse de la vie Qui répare les cicatrices et qui ramène le sourire à nos envies. Alors on erre, on s’enlace auprès de la nuit On se terre, on s’enivre, au cœur du bruit Que l’on s’invente car le silence ne laisse aucun répit Long days, nights far too short The timid temperance that boredom often dreads The languid hours that go by and bring me back To the thoughts of these hurtful absences Mais la perpétuelle quête, vaine, indécente L’espoir, l’amour la haine et la descente Toujours les mêmes cercles, toujours Empruntés, nos nausées, à se rendre sourd 09. C2H6O [Instrumental]
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