Mürrmürr - Magdala [Ep 2023]

Lyrics to Magdala [Ep 2023] by Mürrmürr

Tracklist: 01. 00:00 Cecilia L’aveugle et le sourd sont les serviteurs de l’éternel L’obscur et l’opaque en sont les notionnels Le silence est d’or Hurle et crie, la communauté se cachera Hurle et crie, la communauté t’occultera Je suis restée muette, dans le silence; Je me suis tue, quoique malheureuse; Et ma douleur n'était pas moins vive et les reproches moins acerbes Je suis restée muette, dans le silence; Je me suis tue, quoique malheureuse; Et ma douleur n'était pas moins vive et les reproches moins acerbes La cécité est d’argent Le silence est d’or L’aveugle et le sourd sont les serviteurs de l’éternel L’obscur et l’opaque en sont les notionnels Perdue, perdue dans des nuées de trahison, dans des nuées d’abandon dans des relents d’humiliations, dans des relents de poisses, de sévices et de plaies intérieures Mais le ciel bleu, mais le ciel bleu apparaît au loin Comme une illumination de bonté Comme une illumination d’humanité Et Le vent, et le vent balayera les nuages de l’humiliation Et le soleil éclaircira les êtres Et le soleil éclaircira les êtres Hurle et crie Hurle et crie Pleure !!! 02. 07:05 Yehohanan Abomination , colère, fureur, mon être plie sous le poids des années volées Absolution, comment pardonner ? Mon être est broyé par votre vanité !! Car sous les ailes de l’absolution, vous nous avez offerts à l’immoralité Car sur l’autel de la miséricorde, vous nous avez répudiés Car sous les ailes de l’absolution, vous nous avez offerts aux péchés Car sur l’autel de la miséricorde, vous nous avez récusés Pardon pieux, lumière aveuglante Pardon pieux, brûlure céleste Pardon pieux, lumière aveuglante Pardon pieux, brûlure céleste Pardon pieux, lumière aveuglante Pardon pieux, brûlure céleste Dieu Pardonne moi, d’avoir haï ! Dieu entend mes suppliques ! Dieu pardonne moi mes offenses ! Dieu pardonne ceux qui m’ont offensé Dieu pardonne ceux qui ont pêché Dieux pardonne ceux qui m’ont haï Pardonne Moi Pardonne Les ! 03. 11:17 Kildara Fendu par les vagues, balayé par les vents Resplendissent aux yeux les milles nuances du vert La danse entre les morts et les vivants Fût le joug des anciens dieux et du calvaire Pays de géants, de malice, de robustesse Fût balayé par les vagues d'Albion et fit de ces terres une terre de détresse Mais jamais, une terre d’abdication Le fruit de l'humilité, de la crainte de l'Éternel, C'est la richesse, la gloire et la vie. Si tu veux me contempler dans ma divinité infinie, apprends d'abord à me connaître dans mon humanité souffrante, car c'est là la voie la plus rapide pour atteindre l'éternelle béatitude. Oh éminente mère des dieux Oh guérisseuse de nos mères Oh éminente mère des dieux Oh guérisseuse de nos mères Fendu par les vagues, balayé par les vents Resplendissent aux yeux les milles nuances du vert La danse entre les morts et les vivants Fut le joug des anciens dieux et du calvaire Pays de géants, de malice, de robustesse Fut balayé par les vagues d'Albion et fit de ces terres une terre de détresse Mais jamais, oh non jamais, une terre d’abdication 04. 16:03 Magdala Pleure et crie comme une putain décharnée Animale et révulsante, créature pernicieuse et débauchée Pare-toi du silence, car tes lèvres suppurent l’obscénité Pare-toi du silence, car tes gémissements seront ignorés Tu avais rêvé de l’amour, de la Création, du foyer Tu ne connaîtras que les mains brûlées et le dos courbé Les bonnes mères tiennent leurs enfants dans leur bras Les mauvaises filles font les meilleurs draps ! Magdala, entends moi Magdala Magdala Magdala, entends moi La femme qui n'a jamais connu la pollution du malin, la femme qui n'a jamais connu la pollution du péché, la femme qui respire la pureté, l'innocence et la grâce, reçoit la femme qui respire l'odeur pestilentielle de l'enfer. Agenouille toi devant dieu Ton âme suintante et purulente Un repère de tout oiseau impur Ne devra son salut que par sa main puissante Ne devra son salut que par sa main puissante Ne devra son salut que par sa main puissante Proscrit au pied de Magdala Le labeur absoudra les Sept